Objectifs de la formation⚓
Objectif général
Mettre en œuvre un projet WebTV dans son établissement
Objectifs pédagogiques
Distinguer les différents formats de la WebTV.
Connaître les différentes étapes de création et de gestion d'une WebTV.
Utiliser des outils permettant la création d'une WebTV.
Brise-glace⚓
Objectif : Se présenter en mode interview, se filmer.
Par 2, chacun pioche une phrase d'amorce.
Vous avez 3 min pour réfléchir à votre présentation.
Chacun se filme avec l’ipad et dépose sa vidéo sur keynote.
Idées à piocher :
- Si je n’étais pas prof, je serais…
- Mon dernier voyage, …
- J’ai arrêté de…
- Je déteste….
- J’adore…
- Quand j’étais petit.e …
- Mon meilleur souvenir en tant que prof…
- Si j’étais un jeu de quand j’étais enfant, je serais …
- Si j’étais un super héros ou héroïne, je serais…
- Si j’étais un artiste, je serais …
- Ma destination rêvée…
Définition : qu’est-ce que la webtv ?⚓
Nuage de mots
Les différents formats⚓
Documentaire, reportage, ITW, portrait, fiction, time laps, stop motion, slow motion
Reportage
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Interview
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Stop motion
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Timelapse
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Slowmotion
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Fiction
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Documentaire
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Activité 1⚓
Associer le format au nom + identifier les caractéristiques pour chaque format (mots-clé) (en groupe)
Digipad :
Petit lexique du cinéma⚓
L'échelle des plans⚓
Le plan général ou plan d'ensemble
Le plan de demi-ensemble

Il sert à cadrer.
Il réduit le champ, il montre le personnage de la tête aux pieds.
Il attire l'attention en distinguant un personnage de ce qui l'entoure.
Il suggère le contexte sans lui accorder une place particulière.

Les autres plans et leur signification
Le plan moyen sert à attester: il sert à distinguer un personnage de ce qui l'entoure, lui accorder une importance, le présenter en action.
Le plan américain sert à attirer l'attention: il accorde une importance croissante au personnage et à ses gestes, intensifie éventuellement l'action. A noter que ce plan est très utilisé dans une conversation entre deux personnages (champ / contre-champ).
Le plan italien sert aussi à attirer l'attention: idem.
Le plan « taille » sert à souligner: il permet de saisir les expressions du personnage.
Le plan rapproché sert à préciser: il met en évidence les sentiments du personnage.
Le gros plan sert à dramatiser: il traduit une dimension intérieure en communiquant au spectateur les sentiments du personnage. Il peut mettre aussi en évidence un objet.
Très gros plan ou insert sert à focaliser: il saisit un détail (expression, objet, ...), en provoquantun effet de choc.

La règle des tiers⚓
Définition :
La règle propose que le cadre soit imaginé comme divisé en 9 parties égales par deux lignes horizontales équidistantes et deux lignes verticales équidistantes, les éléments importants de la composition devant être placés le long de ces lignes ou sur leurs intersections.
La règle des 180 degrés et des 30 degrés⚓
Champ et contre champ
En situation d'interview avec 2 personnes ou de dialogue entre 2 personnages, une technique de tournage consiste à filmer une personne, puis l'autre : le champ et le contre-champ.
Cette technique bien utilisée permet de créer des dialogues entre des personnes qui ne sont pas présentes sur le plateau.
Elle nécessite la connaissance et l'application de la règle des 180°.

La lumière⚓



La prise de son⚓
Dans audiovisuel AUDIO est placé avant visuel ...
Quand on décide de réaliser un film, on accorde (à tort) davantage d'importance à l'image plutôt qu'au son.
Or celui-ci n'est pas à négliger.
Ci-dessous quelques dispositifs de prises de son qui existent en fonction des besoins.
Chaque micro a ses spécificités de direction : omnidirectionnel, multidirectionnel, cardioïde, canon...
Le langage des images : l'approche sémiologique et iconographique⚓
L’image comme système de signes : la sémiologie visuelle⚓
Source : https://misterprepa.net/lire-les-images-lapproche-semiologique-iconologique/
La sémiologie est l’étude des signes et de leur signification. Un signe est une association entre un signifiant (la forme perçue) et un signifié (le concept auquel elle renvoie).
Le signifiant
Le signifié
Ferdinand de Saussure, linguiste fondateur de cette discipline, appliquait ce principe au langage verbal. Cependant, ce modèle a été élargi aux images par Roland Barthes, qui a démontré que celles-ci ne sont pas de simples représentations objectives, mais des constructions porteuses de sens.
Charles Sander Peirce propose une typologie des signes qui s’applique parfaitement à l’analyse des images :
L’icône : un signe qui ressemble directement à ce qu’il représente
L’indice : un signe qui indique un phénomène par relation de cause à effet
Le symbole : un signe dont le sens repose sur une convention culturelle
Ainsi, une image ne se comprend pas uniquement par ce qu’elle montre, mais aussi par ce qu’elle évoque en fonction du contexte et des références culturelles.
L’indice :
Le symbole
Dans Rhétorique de l’image, Roland Barthes propose une distinction essentielle pour analyser une image :
Le message dénoté : il s’agit du sens littéral, ce que l’image montre objectivement (ex : un plat de pâtes dans une publicité alimentaire).
Le message connoté : ce sont les significations sous-jacentes, influencées par la culture, les émotions et l’idéologie (ex : ce même plat de pâtes associé à la convivialité familiale et au savoir-faire italien).
Cette distinction est essentielle pour comprendre comment les images influencent notre perception au-delà de leur simple apparence.
L’image comme système de signes : la sémiologie visuelle⚓
L’analyse iconologique : décrypter les images dans leur profondeur⚓
Si la sémiologie permet d’étudier les signes dans l’image, l’iconologie permet d’en dégager les significations profondes. L’historien de l’art Erwin Panofsky a développé une méthode en trois niveaux d’analyse qui est aujourd’hui une référence incontournable.
Le niveau iconologique : l’interprétation profonde
Ce dernier niveau vise à comprendre le message idéologique et symbolique de l’image en lien avec son contexte de création.
Le niveau pré-iconographie : la description
Question⚓
Il s’agit d’observer et de décrire objectivement ce que l’image représente : les personnages, les objets, les couleurs, la composition… À ce stade, aucune interprétation n’est encore faite.
Le niveau iconographique : l’identification des motifs
Question⚓
À ce niveau, on cherche à identifier les références culturelles et les motifs récurrents. L’image peut renvoyer à des mythes, des figures historiques ou des allégories.
Le niveau iconologique : l’interprétation profonde
Question⚓
Ce dernier niveau vise à comprendre le message idéologique et symbolique de l’image en lien avec son contexte de création.
L’iconologie permet donc d’aller au-delà de la simple description pour saisir les intentions de l’auteur et l’impact socioculturel de l’image.
Applications contemporaines : du tableau classique à l’image numérique⚓
L’analyse des images ne concerne pas seulement les œuvres d’art anciennes, elle s’applique aussi aux images contemporaines, notamment dans la publicité, le journalisme ou les réseaux sociaux.
Par exemple, les publicités ne vendent pas seulement un produit : elles vendent un univers de valeurs et d’émotions. Par exemple, une publicité pour une montre de luxe ne se contente pas de montrer une montre, elle associe l’objet à la réussite sociale et au raffinement.
Aussi, les médias utilisent les images pour informer, mais aussi pour orienter la perception du spectateur. Le choix d’un cadrage, d’un éclairage ou d’un moment précis peut transformer un message. Une photo de manifestation montrant une foule paisible ou, au contraire, un affrontement violent, influencera la perception du public.
Enfin, on peut élargir cela à Instagram, TikTok ou encore Snapchat qui regorgent d’images que les utilisateurs mettent en scène pour projeter une certaine image d’eux-mêmes. Le recours aux filtres, aux poses et aux compositions témoigne d’une volonté de contrôler la perception que les autres auront de nous.
Quelques définitions⚓
Photogramme: Nom des images sur une pellicule.


Cadre: Limite de l'image, portion de la réalité en deux dimension isolée par la caméra.
Champ: Portion de l'image (en trois dimensions dans le "réel") qui est délimitée par le cadre.
Hors champ: Ensemble des éléments qui ne sont pas inclus dans le champ (= visible) mais qui sont rattachés imaginairement par le spectateur
Exemple : Un homme est sur un plongeoir. Il saute. La piscine est en hors-champ (on ne la voit pas) mais le spectateur la rattache inconsciemment au plongeon.

Contre-champ: Espace complémentaire du champ.
Exemple : Dans une conversation, on voit successivement la personne qui parle (champ) et celle qui était de dos (contre-champ).


Profondeur de champ: Espace de netteté obtenue par la mise au point, lors d'une prise de vue.
Espace filmique: Association du champ et du hors-champ.
Amorce: Objet situé au premier plan
Décadrage: Rupture volontaire de l'horizontalité du cadre.
La plongée: La caméra se situe au dessus du sujet filmé. Elle engendre une forme d'écrasement du sujet qui est ainsi montré en position d'infériorité.


La contre-plongée: C'est le contraire de la plongée : la caméra se trouve en-dessous du sujet filmé. Elle donne une impression de puissance et de grandeur au personnage qui est ainsi montré en position de supériorité.


Les mouvements de caméra⚓
Le plan fixe: Plan tourné par une caméra à l'aide d'un pied fixe.


Le travelling: (en anglais, travel signifie voyager) indique tout déplacement de la caméra (et de son pied) horizontalement ou verticalement. Ce déplacement peut être effectué de différentes façon : chariot sur rail, voiture, fauteuil roulant, ...
Travelling latéral


Travelling avant ou arrière
Le panoramique: La caméra est mobile autour d'un axe fixe. Elle balaie une portion de l'espace horizontalement ou verticalement. Le panoramique permet de découvrir une large portion de l'espace, d'associer dans le même plan, dans la même continuité temporelle, des personnages et des décors éloignés.


La steadycam: C'est un appareil complexe où est attachée la caméra. Elle permet au cadreur d'avoir une image fluide pendant qu'il marche.
Quelques astuces pour la prise de vue⚓
A l'intérieur d'un plan, éviter les mouvements de caméra (éviter les zooms avant et arrière).
Penser à la profondeur de l'image : essayer d'avoir des objets au premier plan, second plan et troisième plan.
Varier les plans. Les plans doivent être tournés sous des axes différents.
Ne pas hésiter à prendre des gros plans (pratique pour les transitions lors du montage).
Attention au contre-jour. Il assombrit le visage de la personne que vous filmez. Il faut donc toujours que les fenêtres, les lampes et le soleil se trouvent dans le dos de celui qui filme ou sur les côtés.
Activité 2 : Analyser 3 formats⚓
En groupe : 1 format à analyser, grille d’observation, de lecture
Reportage
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Capsule de réseaux sociaux
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Interview
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L'écrit/l'oral⚓
L'écriture radiophonique : écrire avec des mots⚓
Lorsque l'on écrit pour la radio, il faut retrouver le registre de l'oralité. Il faut apprendre à écrire comme on parle. Utiliser le registre de l'oralité facilite la diction des textes lus à l'antenne. En effet notre bouche est plus habituée à dire qu'à lire. Un texte écrit pour être dit sera beaucoup plus fluide en bouche qu'un texte ayant une syntaxe littéraire. Écrire comme on parle, cela ne veut pas dire pour autant que vous utiliserez pour vos "papiers" la langue de la rue. Le respect de vos auditeurs et de la langue que vous défendez font que vous devrez, malgré tout, et sauf cas très particulier, mettre quelques formes.
Quelques règles pour écrire comme on parle
✔ un vocabulaire simple et précis.
✔ un vocabulaire imagé. Les mots doivent permettre de visualiser ce dont vous parlez.
✔ des phrases courtes, 20 mots maximum. Plus la phrase est longue, plus vous risquez de bafouiller en la lisant.
✔ Faites varier la longueur de vos phrases. Des phrases ayant toutes la même longueur donnent une impression de monotonie.
✔ Écrivez simplement: la formule "sujet, verbe, complément" est la plus efficace. Attention aux constructions complexes, évitez les subordonnées, les superlatifs et les redondances...
✔ Utilisez le présent, le passé simple ou le futur.
✔ Ponctuez. La ponctuation structure le débit et permet une meilleure respiration.
Respectez la règle des "3 C" : Court, Clair, Complet !
Comment structurer un papier : La base de l'écriture journalistique, c'est la structure de la "pyramide inversée". Votre papier doit commencer par l'information la plus importante. Qui? Quoi? Quand?
Vous devez ensuite situer la scène ou l'événement. Où ? Replacez l'événement ou l'information dans son contexte.
Vous pouvez - si le temps vous le permet - introduire dans votre papier quelques éléments de documentation.
Une fois que vous avez structuré votre papier, vous devez le faire "vivre", lui donner du "punch" afin d'accrocher l'attention de vos auditeurs. Vous devez donc particulièrement soigner le début de votre papier, c'est "l'accroche" ou "l'attaque" du papier, sans pour autant négliger le "corps" de votre papier. L'information doit être transmise dans un ordre logique.
Il vaut mieux rédiger autant de papiers différents pour traiter une information sous ses différents angles plutôt que de vouloir tout dire en 1' 15.
L'application « Atelier franceinfo Junior »
Vous pouvez installer l'application tablette « Atelier Franceinfo Junior » qui possède tout un tas de ressources pour l'écriture radiophonique (fiches de rôles, coducteurs à complétéer,...).
https://www.radiofrance.com/lappli-franceinfo-junior
Lorsque vous ouvre l'application pour la première fois on vous demande un identifiant et un mot de passe :
Pour installer l'appli, vous devrez entrer le/les identifiants suivants :
Login: franceinfojunior
Mot de passe : scolaires
Le « scénarimage » ou storyboard⚓
Création d’un story board
Un storyboard, scénarimage, est la représentation illustrée d'un film avant sa réalisation.
On y précise :
Cadrage
Mouvement de caméra
Mouvement de personnages
Les raccords
Il améliore la circulation des informations entre les équipes du tournage.
Un storyboard s’accompagne toujours d’un script ou d’un scénario, qui permet de décrire plus en profondeur l’action et le sujet d’un projet. Il apporte des détails et permet d’aller plus loin dans la description d’une scène et de ce qui la compose, en ajoutant des commentaires, des annotations, des intentions d’émotions, des effets, etc.
1. ÉTABLIR UN CHEMIN DE FER (DÉCOUPAGE DE L’HISTOIRE)
Sur une feuille vierge, établissez un chemin de fer (découpage par page), en traçant une grille de 4, 6 ou 8 images par page. Prévoyez de la place sous chaque vignette afin d’ajouter du texte, des détails et des références.
2. DÉCOUPER L’ACTION EN SÉQUENCES
Reprenez votre base de scénario et commencez à intégrer les principaux mots-clés qui composent l’action de la séquence et ce, pour chaque case. Commencez à dessiner le contenu de chaque vignette, en tenant compte de celles qui la suivent et la précèdent afin de rendre l’action compréhensible d’un simple coup d’œil. Dans un premier temps, n’hésitez pas à utiliser des photos ou à faire des montages pour vous aider à définir un prototype.
3. TESTER LA COHÉRENCE DE CHACUNE DES SÉQUENCES DU STORY-BOARD
Une fois la première version de votre storyboard définie, installez-la sur un mur ou une large surface au sol afin d’avoir une vision globale de votre séquence. Munissez-vous d’une gomme et d’un crayon et n’hésitez pas à utiliser des post-it, punaises ou tout autre outil vous permettant de faire des modifications rapidement, changer l’ordre des vignettes. L’objectif est de tester des variations sur l’enchaînement de chaque plan et leur contenu.
4. DESSINER ET ANNOTER CHAQUE SÉQUENCE DU STORYBOARD
Veillez à développer en parallèle tout ce qui compose votre univers : dessinez les décors, les objets principaux et les personnages. Écrivez également des descriptifs sur l’histoire et le vécu des protagonistes, détaillez les éléments qui composent l’univers et les lieux où se déroule l’action, etc. Cela vous aidera à améliorer la cohérence de votre histoire et permettra de définir clairement la direction artistique du projet.

Production d'une capsule vidéo⚓
Produire une capsule vidéo sur le format reportage (2h30)
Durée : 3 min max
Temps 1 : scénario (storyboard, écriture) (45 min)
Temps 2 : captation (1h)
→ Donner les éléments techniques pour la captation
Temps 3 : montage (imovie) (45 min)
Lien vers digipad pour déposer et partager les productions de chaque groupe
Où trouver du son libre de droit ?⚓
http://www.universal-soundbank.com/
Banque de sons plutôt axée sur les bruitages, samples, rythmes en loop et extraits de films, mais contient aussi des musiques. Le tout en qualité wav au mieux, et mp3 en 320kbits/s au moins. Son lecteur intégré permet de lire rapidement les extraits audio. On regrette le design et la navigation plutôt lente entre les pages, mais ce site a néanmoins de la ressource en terme de choix.
Bruitages et sons enregistrés intégralement par Joseph Sardin. Tous ses bruitages sont gratuits et libres de droits pour toute utilisation non commerciale. Sa banque de sons est plutôt destinée à agrémentée les productions audiovisuelles, et est enregistrée majoritairement en 48kHz et 16bits. Excellent panel de formats avec wav, aiff, mp3 et ogg.
https://www.sounddesigners.org/
Référence incontournable des bruitages dans la production audiovisuelles, ce site est un portail communautaire de passionnés et professionnels. Mention spéciale pour son blog très complet et pointu sur le sujet. Le seul bémol reste que les fichiers téléchargés sont en mp3 128kbits/s, mais il suffira de contribuer gratuitement à la communauté pour avoir un accès aux samples en haute qualité.
Une référence du web pour les musiques d'ambiances ainsi que les ambiances sonores. On y retrouve plus de 2000 téléchargements gratuits, et près de 9000 payants supplémentaires. Trois licences différentes sont mises en avant, LESF (royalty free, tout type droit ou usage), LMK (uage privé/familial pour gratuit, pro pour payant) et OGD (sacem). Mention spéciale pour son moteur de recherche avancé, permettant de filtrer les types de licences.
Une sélection des meilleures musiques libres de droits. Vous pouvez écouter et télécharger les musiques légalement et gratuitement et ré-utiliser la musique pour vos vidéos par exemple. La musique est gratuite et libre de droits mais soumise à certaines conditions d'utilisations.